En 2002, la télévision nationale hollandaise, en se basant sur des publications apparues dans le Soir Belgique, avait annoncé que le nouveau roi du Maroc est homosexuel. Cela n’est certainement pas nouveau pour les citoyens marocains. La publication avait conduit à une grande manifestation des marocains d’Utrecht. Pourtant, u Maroc, tout le monde le disait du jeune prince héritier qui deviendra plus tard le roi Mohamed VI.
Le Rédacteur en chef Hans Brom a dit « Notre Robbert Bosschard, correspondant, a parlé avec le chef de police et le commandant en chef de l’armée marocaine. Ils ont été convaincus que le nouveau roi est homosexuel et ils avaient peur de l’avenir sous un monarque homosexuel. »
Se poser la question n’est pas être homophobe s’agissant d’une personnalité publique, un chef d’Etat d’un pays musulman de surcroit, le Commandeur des Croyants d’un pays musulman dont les tribunaux prononcent des peines de 6 mois à 3 ans de prison pour « homosexualité » et elles sont prononcées au nom du roi. Dans l’affaire du mariage du Ksar el Kebir, les protagonistes furent condamnés sans preuve uniquement pour faire taire les rumeurs qui avaient enclenchés l’article d’Al Massae.
Il est donc judicieux de se poser des questions à ce sujet, même si Mohamed VI, en tant que « déscendant du prophète » est à l’abri de toutes les accusations, mais si jamais le prophète entendait cela, il se tournerait dans sa tombe pour maudire les alaouites.
Rumeurs ou vérité, en tout cas les rumerus sur son homosexualité sont persistantes et il a été vu dans les bars gay de Bruxelles à l’poque où son père l’a envoyé faire un stage avec le président de la Commission Européenne, Jacques Delors. Huit mois en Belgique, entouré de quelques amis, logé dans une somptueuse villa. Le week-end, il se lâchait. Restaurant, boîtes de nuit, bar gays… Il voulait se défouler loin de l’influence paternelle.
Pour les européens, Mohamed VI est peut-être un bon roi, mais il n’est pas bon musulman. Son homosexualité est « la connaissance commune » en Europe et des cercles intellectuels marocains, selon Tony Flavel, résident à Marrakech. « Mais vaut mieux ne pas en parler, » a-t-il dit. « La police et les forces armées sont contre le nouveau roi pour cette raison précisément. Ils préféreraient son frère plus jeune, Moulay Rashid. »
On peut se demander si tout le brouhaha que le roi du Maroc a monté sur l’association de gays marocains et leur journal est pour donner une image d’ouverture au Maroc ou c’est plutôt par « affinité » du souverain.
Jamais un roi n’a été aussi nul. Il n’a pas l’intelligence ni la compétence de son père, mais apparemment, le sexe non plus. A la timidité s’ajoute l’homosexualité. La totale! Donc, arrêtons de s’en prendre aux femmes marocaines qui pratiquent la prostitution. Il faut, d’abord, demander au roi de rendre des comptes. Lui, qui est le roi des marocains et de la gaieté.
En tout cas, s’il a su préserver son derrière jusqu’à maintenant, chose difficile pour quelqu’un ayant passé par les bars de Bruxelles, une chose est sûre : Il a été bien baisé par les sahraouis, ce peuple courageux qui se bat pour sa terre : le Sahara Occidental.
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