Le soulèvement du « camp de la dignité » à El Aaiun (capitale occupée du Sahara Occidental, ndds) il y a quelques mois, pour protester pacifiquement contre l’exclusion de la population sahraouie, a fini en une répression brutale. Des activistes de Resistencia Saharaui ont cassé le silence médiatique et montré au monde entier le véritable visage sanguinaire du régime de Mohamed VI. Gdeim izik a été le point de départ d’autres révoltes contre la tyrannie en Tunisie, en Egypte, et probablement au Maroc.
La voie diplomatique a échoué. En conséquence, l’occasion de solution du conflit nous pouvons la trouver soit en profitant de la faiblesse de l’occupant, soit dans le déclenchement d’une révoluion démocratique au Maroc, soumis au féodalisme de la couronne alaouite. La solidarité et la justice ne peuvent pas être neutres.
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