Ils ont été incarcérés depuis octobre 2009 : Liberté provisoire pour trois détenus sahraouis
Trois des six militants sahraouis arrêtés en octobre à Casablanca à leur retour de Tindouf ont bénéficié, hier, dune liberté provisoire, a déclaré à leur avocat Me Mohammed Sebbar.
« La cour dappel de Salé a accepté la demande de mise en liberté provisoire pour trois des six militants, après avoir été rejetée jeudi par le tribunal militaire », selon Me Sebbar. Les militants sahraouis ont été accusés en octobre par le tribunal militaire de Rabat de « trahison et intelligence avec lennemi », mais nont pas encore été poursuivis. Ceux qui ont bénéficié de « cette liberté provisoire, sont Saleh Bouih, Rachid Sghir et Yahdih Terroussi », a précisé Me Sebbar.
Les trois autres, dont le militant Ali Salem Tamek, « attendront encore la décision du tribunal militaire, qui décidera ou non de les poursuivre », a-t-il ajouté. Les six militants avaient commencé une grève de la faim le 18 mars mais lont arrêté fin avril, tout en réclamant des autorités judiciaires marocaines quelles fixent le « plus rapidement la date de leur procès ou quelles les libèrent ». Selon Me Sebbar, « le fait de leur accorder la liberté provisoire est une décision positive du tribunal. Nous souhaitons que cette mesure sétende aux trois autres ».
EL WATAN
Trois des six militants sahraouis arrêtés en octobre à Casablanca à leur retour de Tindouf ont bénéficié, hier, dune liberté provisoire, a déclaré à leur avocat Me Mohammed Sebbar.
« La cour dappel de Salé a accepté la demande de mise en liberté provisoire pour trois des six militants, après avoir été rejetée jeudi par le tribunal militaire », selon Me Sebbar. Les militants sahraouis ont été accusés en octobre par le tribunal militaire de Rabat de « trahison et intelligence avec lennemi », mais nont pas encore été poursuivis. Ceux qui ont bénéficié de « cette liberté provisoire, sont Saleh Bouih, Rachid Sghir et Yahdih Terroussi », a précisé Me Sebbar.
Les trois autres, dont le militant Ali Salem Tamek, « attendront encore la décision du tribunal militaire, qui décidera ou non de les poursuivre », a-t-il ajouté. Les six militants avaient commencé une grève de la faim le 18 mars mais lont arrêté fin avril, tout en réclamant des autorités judiciaires marocaines quelles fixent le « plus rapidement la date de leur procès ou quelles les libèrent ». Selon Me Sebbar, « le fait de leur accorder la liberté provisoire est une décision positive du tribunal. Nous souhaitons que cette mesure sétende aux trois autres ».
EL WATAN
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