Ecole du Février (camps de réfugiés sahraouis), 04/05/2010 (SPS) La première école de production cinématographique a été ouverte dimanche, au camp du 27 février par des dizaines d’artistes et producteurs de cinéma, en présence des responsables sahraouis et du représentant de l’Agence Espagnole de Coopération Internationale (AECI).
L’inauguration de l’école de cinéma sahraoui au camp du « Février 27 », un des projets caressé par le festival depuis sa création, mettra la touche finale ces journées du cinéma de solidarité avec le peuple sahraoui.
L’école « Abidin Kaid Saleh, » a l’intention de donner une continuité aux ateliers ouverts durant le festival et offrir aux Sahraouis une formation et des alternatives professionnelles.
L’école de cinéma, inauguré dans les camps de réfugiés sahraouis, est un nouvel acquit à la « juste » cause du peuple sahraoui, car elle permettra la diffusion de sa cause par le biais du cinéma, avait déclaré à Dakhla, le directeur du Fisahara, et réalisateur d’origine péruvienne, Javier Corcuera.
Elle comptera avec des cours universitaires qui dureront « une année de formation solide » dans dix ateliers dun mois chacun, qui sera suivi pour les plus doués dune spécialisation à lEcole cubaine de cinéma de « San Antonio de los Baños » , a précisé M. Corcuera.
« La nouvelle école est en fait une réussite pour le peuple sahraoui et notre désir et notre espoir est de former des cinéastes, réalisateurs, producteurs et acteurs sahraouis qui pourront raconter leurs propres histoires et démontrer leur propre travail et gérer leur propres films dans les festivals à venir pour exprimer leur désir d’être libre et indépendant », a-t-il souligné,
Pour sa part, l’acteur espagnol, Toledo Wily, avait par ailleurs souligné que lobjectifs de cet événement international est de montrer au monde « le noble combat du peuple sahraoui, où des militants dans les territoires occupés souffrent dans leur chair de la torture, la persécution, les disparitions, les violations de la plupart de leurs droits fondamentaux ».
Il a ensuite ajouté que ce festival à travers ses éditions antérieures et ses différents ateliers, films, projections, vise également à attirer le monde du cinéma pour donner à la cause sahraouie, une couverture médiatique dans tous les médias, et de profiter des avantages du 7ème art pour diffuser la lutte du peuple sahraoui. (SPS)
L’inauguration de l’école de cinéma sahraoui au camp du « Février 27 », un des projets caressé par le festival depuis sa création, mettra la touche finale ces journées du cinéma de solidarité avec le peuple sahraoui.
L’école « Abidin Kaid Saleh, » a l’intention de donner une continuité aux ateliers ouverts durant le festival et offrir aux Sahraouis une formation et des alternatives professionnelles.
L’école de cinéma, inauguré dans les camps de réfugiés sahraouis, est un nouvel acquit à la « juste » cause du peuple sahraoui, car elle permettra la diffusion de sa cause par le biais du cinéma, avait déclaré à Dakhla, le directeur du Fisahara, et réalisateur d’origine péruvienne, Javier Corcuera.
Elle comptera avec des cours universitaires qui dureront « une année de formation solide » dans dix ateliers dun mois chacun, qui sera suivi pour les plus doués dune spécialisation à lEcole cubaine de cinéma de « San Antonio de los Baños » , a précisé M. Corcuera.
« La nouvelle école est en fait une réussite pour le peuple sahraoui et notre désir et notre espoir est de former des cinéastes, réalisateurs, producteurs et acteurs sahraouis qui pourront raconter leurs propres histoires et démontrer leur propre travail et gérer leur propres films dans les festivals à venir pour exprimer leur désir d’être libre et indépendant », a-t-il souligné,
Pour sa part, l’acteur espagnol, Toledo Wily, avait par ailleurs souligné que lobjectifs de cet événement international est de montrer au monde « le noble combat du peuple sahraoui, où des militants dans les territoires occupés souffrent dans leur chair de la torture, la persécution, les disparitions, les violations de la plupart de leurs droits fondamentaux ».
Il a ensuite ajouté que ce festival à travers ses éditions antérieures et ses différents ateliers, films, projections, vise également à attirer le monde du cinéma pour donner à la cause sahraouie, une couverture médiatique dans tous les médias, et de profiter des avantages du 7ème art pour diffuser la lutte du peuple sahraoui. (SPS)
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