Dakhla (camps de réfugiés sahraouis), 30/04/2010 (SPS) Le Premier ministre sahraoui, M. Abdelkader Taleb Omar, a déploré, vendredi, le blocage du gouvernement français sur la mise en place d’un mécanisme de contrôle et de surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental.
« La visite d’élus municipaux et régionaux français intervient à un moment où la question sahraouie est en débat au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations-Unies », a affirmé M. Taleb à l’ouverture de la conférence sur « l’expérience démocratique dans la gestion des campements de réfugiés sahraouis », ajoutant à l’adresse des élus français présents que « la position française bloquant la revendication du peuple sahraoui sur l’élargissement du mandat de la Minurso au contrôle et la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental, est incompréhensible ».
Rappelant que la France est traditionnellement connue pour sa sensibilité sur la question des droits de l’homme et les valeurs de la liberté, le Premier ministre sahraoui a souligné que « 14 pays au sein du Conseil de sécurité de l’Onu sont favorables ou ne s’opposent pas à cette revendication, à l’exception de la France ».
« Nous attendons de la France d' »observe » une attitude neutre et d’appuyer la légalité internationale », a-t-il poursuivi.
« Nous demandons au gouvernement français de traiter sur le même pied d’égalité les peuples et les Etats du Maghreb et d’aider de la sorte à l’avènement d’une véritable stabilité dans la région », a-t-il ajouté.
Il a relevé, par ailleurs, que la visite des élus français coïncide avec la tenue du 7ème festival du Cinéma de Dakhla, estimant que ce genre d’activités contribue à encourager la paix et la stabilité et éloigne le spectre de la guerre.
De son côté, le maire d’Alger Centre et vice-président du Comité exécutif des cités et gouvernements locaux unis d’Afrique, M. Tayeb Zitouni, a rappelé que les élus présents à cette conférence sont mandatés par leurs électeurs pour s’informer de ce qui se passe dans la région.
« Nous sommes, aujourdhui, réunis pour exprimer notre solidarité avec les Sahraouis, pour les soutenir dans leurs revendications justes et légitimes, et pour que le droit, et seulement le droit, soit appliqué rapidement, dans leur cas, avec sincérité et sans équivoque », a-t-il ajouté.
Une délégation forte de 107 élus municipaux et régionaux venus de plusieurs régions de France dont, la région de Rhône Alpes, Ile de France (Paris), le Centre (Vierzon) la Lorraine (Lyon), la Paca (Marseille) et la Moselle, sont en visite dans les camps des réfugiés sahraouis depuis mardi.(SPS)
« La visite d’élus municipaux et régionaux français intervient à un moment où la question sahraouie est en débat au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations-Unies », a affirmé M. Taleb à l’ouverture de la conférence sur « l’expérience démocratique dans la gestion des campements de réfugiés sahraouis », ajoutant à l’adresse des élus français présents que « la position française bloquant la revendication du peuple sahraoui sur l’élargissement du mandat de la Minurso au contrôle et la surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental, est incompréhensible ».
Rappelant que la France est traditionnellement connue pour sa sensibilité sur la question des droits de l’homme et les valeurs de la liberté, le Premier ministre sahraoui a souligné que « 14 pays au sein du Conseil de sécurité de l’Onu sont favorables ou ne s’opposent pas à cette revendication, à l’exception de la France ».
« Nous attendons de la France d' »observe » une attitude neutre et d’appuyer la légalité internationale », a-t-il poursuivi.
« Nous demandons au gouvernement français de traiter sur le même pied d’égalité les peuples et les Etats du Maghreb et d’aider de la sorte à l’avènement d’une véritable stabilité dans la région », a-t-il ajouté.
Il a relevé, par ailleurs, que la visite des élus français coïncide avec la tenue du 7ème festival du Cinéma de Dakhla, estimant que ce genre d’activités contribue à encourager la paix et la stabilité et éloigne le spectre de la guerre.
De son côté, le maire d’Alger Centre et vice-président du Comité exécutif des cités et gouvernements locaux unis d’Afrique, M. Tayeb Zitouni, a rappelé que les élus présents à cette conférence sont mandatés par leurs électeurs pour s’informer de ce qui se passe dans la région.
« Nous sommes, aujourdhui, réunis pour exprimer notre solidarité avec les Sahraouis, pour les soutenir dans leurs revendications justes et légitimes, et pour que le droit, et seulement le droit, soit appliqué rapidement, dans leur cas, avec sincérité et sans équivoque », a-t-il ajouté.
Une délégation forte de 107 élus municipaux et régionaux venus de plusieurs régions de France dont, la région de Rhône Alpes, Ile de France (Paris), le Centre (Vierzon) la Lorraine (Lyon), la Paca (Marseille) et la Moselle, sont en visite dans les camps des réfugiés sahraouis depuis mardi.(SPS)
l'onu est-elle aveugle,pourquoi ces tergiversations et cette perte de temps et de l'argent?ses dirigeants ne savent-ils pas que le maroc a envahie ce territoire en 1975 quand il etait sous occupation espagnol?il y a des complicites de part et d'autre de la france en particulier pour des vacances aux dirigeants francais dans de fastueux hatels ou tout coule a flot a MARRAKECH.maintenant qu'on s'attaque a l'iran pour etablir la paix totale dans ce globe mortifie par son ecologie malade on ecrase les palestiniens et les nouveaux colonises.laissons ce peuple vivre dans son territoire et chassons l'envahisseur par le droit internaional comme ca a ete pratique au TIMOR et contre la SERBIE pour que les BOSNIAQUES vivent en paix