Bruxelles, 14/04/2010.- L’Intergroupe « Paix pour le Sahara occidental » du Parlement européen a adressé mercredi une lettre aux membres au Conseil de sécurité pour qu’ils assument leur devoir d’agir pour que le monitoring des droits de l’homme au Sahara occidental soit inclus, dorénavant, dans le mandat de la MINURSO.
« Les attaques contre les libertés fondamentales se sont aggravées, et les défenseurs sahraouis des droits de l’homme en sont les premières victimes. Plus de 36 prisonniers de conscience sahraouis sont en grève de la faim illimitée depuis plus de trois semaines. Cette situation qui nous interpelle, ne peut et ne doit laisser indifférent le Conseil de sécurité, qui dans le cadre de ses responsabilités, a le devoir d’agir pour que le monitoring des droits de l’homme au Sahara occidental soit inclus, dorénavant, dans le mandat de la MINURSO », écrivent les députés signataires de cette lettre, dont le président de l’Intergroupe, l’allemand Norbert Neuser.
Il s’agit-là, soutiennent-ils, de « remédier à une injustice intolérable, de combler un vide dans la mission de paix au Sahara occidental, laquelle ne peut être ni exceptée, ni exonérée d’un devoir qui est celui de toute la communauté internationale vis-à-vis du peuple sahraoui ».
En tant que parlementaires européens, membres de l’Intergroupe, formé de députés de différents groupes politiques composant le PE, ils indiquent dans leur lettre qu’ils suivent « avec intérêt et préoccupation la situation au Sahara occidental ».
« Nous avons à cœur de voir ce conflit prendre fin pacifiquement grâce à la concrétisation du droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination », espèrent-ils. Dans ce document, l’Intergroupe a également émis des observations après la lecture du rapport du secrétaire général, M. Ban Ki-moon, sur le Sahara occidental.
« Le conflit du Sahara occidental étant un problème de décolonisation, il est de la responsabilité des Nations unies de lui apporter une solution définitive en assurant le respect et l’application de leurs résolutions pertinentes, garantissant le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui », ont soutenu les eurodéputés. Ils estiment que le respect et la protection des droits de l’homme au Sahara occidental « incombent d’abord à l’ONU ».
« Ceci est d’autant plus urgent, que nous avons assisté ces derniers temps à une véritable détérioration des conditions des droits de l’homme et à une situation à la limite du tragique des populations civiles sahraouies se trouvant sous occupation marocaine », insistent-ils.(SPS)
« Les attaques contre les libertés fondamentales se sont aggravées, et les défenseurs sahraouis des droits de l’homme en sont les premières victimes. Plus de 36 prisonniers de conscience sahraouis sont en grève de la faim illimitée depuis plus de trois semaines. Cette situation qui nous interpelle, ne peut et ne doit laisser indifférent le Conseil de sécurité, qui dans le cadre de ses responsabilités, a le devoir d’agir pour que le monitoring des droits de l’homme au Sahara occidental soit inclus, dorénavant, dans le mandat de la MINURSO », écrivent les députés signataires de cette lettre, dont le président de l’Intergroupe, l’allemand Norbert Neuser.
Il s’agit-là, soutiennent-ils, de « remédier à une injustice intolérable, de combler un vide dans la mission de paix au Sahara occidental, laquelle ne peut être ni exceptée, ni exonérée d’un devoir qui est celui de toute la communauté internationale vis-à-vis du peuple sahraoui ».
En tant que parlementaires européens, membres de l’Intergroupe, formé de députés de différents groupes politiques composant le PE, ils indiquent dans leur lettre qu’ils suivent « avec intérêt et préoccupation la situation au Sahara occidental ».
« Nous avons à cœur de voir ce conflit prendre fin pacifiquement grâce à la concrétisation du droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination », espèrent-ils. Dans ce document, l’Intergroupe a également émis des observations après la lecture du rapport du secrétaire général, M. Ban Ki-moon, sur le Sahara occidental.
« Le conflit du Sahara occidental étant un problème de décolonisation, il est de la responsabilité des Nations unies de lui apporter une solution définitive en assurant le respect et l’application de leurs résolutions pertinentes, garantissant le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui », ont soutenu les eurodéputés. Ils estiment que le respect et la protection des droits de l’homme au Sahara occidental « incombent d’abord à l’ONU ».
« Ceci est d’autant plus urgent, que nous avons assisté ces derniers temps à une véritable détérioration des conditions des droits de l’homme et à une situation à la limite du tragique des populations civiles sahraouies se trouvant sous occupation marocaine », insistent-ils.(SPS)
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