Le représentant du Front Polisario en Espagne, Bouchraya Beyoun a averti aujourd’hui que l’imposition du plan d’autonomie au Sahara Occidental qui propose le Maroc aboutirait à l’instabilité dans la région et au retour aux armes pour défendre la cause sahraouie.
Beyun a lancé cet avertissement dans son intervention dans le séminaire organisé à Madrid par le groupe de Izquierda Unida Europea sur le rôle de l’UE dans le conflit de l’ex-colonie espagnole, dans lequel l’activiste sahraouie Aminatu Haidar a participé.
Le délégué du Polisario a assuré que l' »intransigeance » marocaine et le manque de réaction de l’ONU et de pays comme l’Espagne et la France ont emporté le peuple sahraoui « sur le bord du précipice ».
« On ne peut rien nous demander de plus, à moins que l’on ne veuille nous pousser au suicide. Et nous ne sommes pas prêts à cela », dit-il.
Beyoun a poursuivi : « Et pour cela, nous utiliserons tous les moyens et instruments à notre portée. Et quand je dis tous, je me rapporte au retour possible aux armes au cas où une position définitive ne s’impose pas à ce conflit conformément au droit international ».
Pour Beyoun, la seule sortie passe par l’exercice du droit à l’autodétermination et à l’indépendance des sahraouis par le biais d’un référendum.
« Il n’y a pas d’autre solution. N’importe quelle tentative de forcer d’autres solutions conduira inévitablement la région à l’instabilité et au retour aux hostilités », insista-t-il.
Beyoun a clairement précisé que le Polisario « n’est pas prêt à perdre plus de temps dans des réunions sans résultat » ni à faire « davantage de concessions ».
Beyoun a ajouté qui la mission de l’émissaire de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, échoue « il n’y aura pas d’autre médiateur ».
Aminatu Haidar a aussi qualifié de « très alarmante » la situation dans la région et a regretté la passivité de l’UE et de l’Espagne pour mettre fin à la « machine de répression marocaine ».
Beyun a lancé cet avertissement dans son intervention dans le séminaire organisé à Madrid par le groupe de Izquierda Unida Europea sur le rôle de l’UE dans le conflit de l’ex-colonie espagnole, dans lequel l’activiste sahraouie Aminatu Haidar a participé.
Le délégué du Polisario a assuré que l' »intransigeance » marocaine et le manque de réaction de l’ONU et de pays comme l’Espagne et la France ont emporté le peuple sahraoui « sur le bord du précipice ».
« On ne peut rien nous demander de plus, à moins que l’on ne veuille nous pousser au suicide. Et nous ne sommes pas prêts à cela », dit-il.
Beyoun a poursuivi : « Et pour cela, nous utiliserons tous les moyens et instruments à notre portée. Et quand je dis tous, je me rapporte au retour possible aux armes au cas où une position définitive ne s’impose pas à ce conflit conformément au droit international ».
Pour Beyoun, la seule sortie passe par l’exercice du droit à l’autodétermination et à l’indépendance des sahraouis par le biais d’un référendum.
« Il n’y a pas d’autre solution. N’importe quelle tentative de forcer d’autres solutions conduira inévitablement la région à l’instabilité et au retour aux hostilités », insista-t-il.
Beyoun a clairement précisé que le Polisario « n’est pas prêt à perdre plus de temps dans des réunions sans résultat » ni à faire « davantage de concessions ».
Beyoun a ajouté qui la mission de l’émissaire de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, échoue « il n’y aura pas d’autre médiateur ».
Aminatu Haidar a aussi qualifié de « très alarmante » la situation dans la région et a regretté la passivité de l’UE et de l’Espagne pour mettre fin à la « machine de répression marocaine ».
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