Nous avons eu l’occasion de rencontrer des femmes et des hommes victimes de la répression systématique que subit le peuple sahraoui dans son pays. Un rapport publié par des observateurs internationaux ayant accompagné des militants sahraouis des droits de l’homme à leur retour d’une visite aux camps des réfugiés sahraouis et aux territoires libérés révèle que la ville d’El Ayoune était assiégée en permanence par la police marocaine « de manière à contrôler chaque mouvement”, a rapporté mercredi l’Agence de presse sahraouie citant le rapport publié la semaine dernière.”Nous avons l’impression d’être dans un poste de police”, a indiqué un observateur international décrivant le déploiement des agents de la police et de la gendarmerie tout au long des rues et ruelles des villes sahraouies occupées.
Le rapport fait état de la souffrance du peuple sahraoui en raison des pratiques répressives marocaines et précise que “nous avons eu l’occasion de rencontrer des femmes et des hommes victimes de la répression systématique que subit le peuple sahraoui dans son pays. Il s’agit de dizaines de personnes qui nous ont raconté la torture dont ils étaient victimes pendant la période de leur incarcération qui varie de 5 à 18 ans dans des conditions inhumaines”.”On est frappé de stupéfaction lorsqu’on écoute ces témoignages et qu’on voit ces victimes lutter pour le recouvrement de leur droit à l’autodétermination et à l’indépendance, un droit légitime consacré par le Droit international et les décisions des Nations unies”, ajoute le rapport.
Le document signé par un groupe d’observateurs internationaux composé de personnalités d’Espagne et d’autres pays européens a mis en avant les intimidations qu’ont subi les membres du groupe qui étaient surveillés en permanence en vue de les éloigner des habitations des sahraouis. Le rapport précise également que la police marocaine opérait des “incursion” dans les maisons où logeaient les observateurs pour les contraindre à rejoindre l’hôtel ou quitter le Sahara occidental et même le Maroc.
Le rapport révèle que les militants sahraouis des droits de l’homme ont subi une “fouille” à l’aéroport d’El Ayoune. Il évoque également la visite du quartier Maatallah, noyau de l’intifadha sahraouie, qui a suscité une “descente massive” des agents de la police contre les citoyens sahraouis qui attendaient les militants et les tentatives d’isoler les observateurs internationaux des citoyens sahraouis.
A rappeler qu’aujourd’hui, la Rasd fêtera le 40e anniversaire du soulèvement du 17 juin 1970 de Zemla.
Le rapport fait état de la souffrance du peuple sahraoui en raison des pratiques répressives marocaines et précise que “nous avons eu l’occasion de rencontrer des femmes et des hommes victimes de la répression systématique que subit le peuple sahraoui dans son pays. Il s’agit de dizaines de personnes qui nous ont raconté la torture dont ils étaient victimes pendant la période de leur incarcération qui varie de 5 à 18 ans dans des conditions inhumaines”.”On est frappé de stupéfaction lorsqu’on écoute ces témoignages et qu’on voit ces victimes lutter pour le recouvrement de leur droit à l’autodétermination et à l’indépendance, un droit légitime consacré par le Droit international et les décisions des Nations unies”, ajoute le rapport.
Le document signé par un groupe d’observateurs internationaux composé de personnalités d’Espagne et d’autres pays européens a mis en avant les intimidations qu’ont subi les membres du groupe qui étaient surveillés en permanence en vue de les éloigner des habitations des sahraouis. Le rapport précise également que la police marocaine opérait des “incursion” dans les maisons où logeaient les observateurs pour les contraindre à rejoindre l’hôtel ou quitter le Sahara occidental et même le Maroc.
Le rapport révèle que les militants sahraouis des droits de l’homme ont subi une “fouille” à l’aéroport d’El Ayoune. Il évoque également la visite du quartier Maatallah, noyau de l’intifadha sahraouie, qui a suscité une “descente massive” des agents de la police contre les citoyens sahraouis qui attendaient les militants et les tentatives d’isoler les observateurs internationaux des citoyens sahraouis.
A rappeler qu’aujourd’hui, la Rasd fêtera le 40e anniversaire du soulèvement du 17 juin 1970 de Zemla.
HORIZONS, 16/6/2010
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