Salé (Maroc), 29/06/2010 (SPS) La Cour marocaine d’appel de Salé a refusé samedi d’accorder la liberté provisoire pour les militants sahraouis des droits de l’homme arrêtés depuis le 16 octobre 2009, pour avoir effectué une visite aux camps de réfugiés sahraouis, a-t-on indiqué de sources judiciaires sahraouis.
C’est la deuxième fois que le conseil d’administration de cette cour rejette la demande de mise en liberté provisoire déposée par la défense des trois prisonniers sahraouis de conscience, Brahim Dahan, Ali Salem Tamek et Ahmed Nasiri.
La même cour avait accordé le 18 mai dernier la liberté provisoire pour les prisonniers politiques sahraouis, Yahdih Etterouzi, Saleh Labaihi et Rashid Sghair et en janvier, pour la seule femme qui se trouvait parmi le groupe dans cette prison, Degja Lachgar, en raison de la détérioration de son état de santé.
Ces trois prisonniers politiques sahraouis ont été mis en liberté provisoire après avoir entamé, avec leur compatriotes une grève illimitée de la faim de 41 jours pour réclamer leur droit à un procès équitable ou la libération immédiate et sans conditions.
À cet égard, le collectif des défenseurs sahraouis des droits de l’homme a appelé l’Etat marocain de libérer immédiatement ces prisonniers politiques sahraouis et tous les autres prisonniers politiques sahraouis qui se trouvent encore dans les prisons marocaines.
Le groupe des 7 activistes sahraouis a été arrêté le 8 octobre dernier à Rabat, à leur retour d’une visite familiale dans les camps de réfugiés sahraouis et dans les territoires libérés du Sahara Occidental, rappelle-t-on. (SPS)
C’est la deuxième fois que le conseil d’administration de cette cour rejette la demande de mise en liberté provisoire déposée par la défense des trois prisonniers sahraouis de conscience, Brahim Dahan, Ali Salem Tamek et Ahmed Nasiri.
La même cour avait accordé le 18 mai dernier la liberté provisoire pour les prisonniers politiques sahraouis, Yahdih Etterouzi, Saleh Labaihi et Rashid Sghair et en janvier, pour la seule femme qui se trouvait parmi le groupe dans cette prison, Degja Lachgar, en raison de la détérioration de son état de santé.
Ces trois prisonniers politiques sahraouis ont été mis en liberté provisoire après avoir entamé, avec leur compatriotes une grève illimitée de la faim de 41 jours pour réclamer leur droit à un procès équitable ou la libération immédiate et sans conditions.
À cet égard, le collectif des défenseurs sahraouis des droits de l’homme a appelé l’Etat marocain de libérer immédiatement ces prisonniers politiques sahraouis et tous les autres prisonniers politiques sahraouis qui se trouvent encore dans les prisons marocaines.
Le groupe des 7 activistes sahraouis a été arrêté le 8 octobre dernier à Rabat, à leur retour d’une visite familiale dans les camps de réfugiés sahraouis et dans les territoires libérés du Sahara Occidental, rappelle-t-on. (SPS)
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