Pas de surprises dans les motions de censure contre le gouvernement français

Le président du parti Les Républicains, Éric Ciotti, a minimisé les divergences internes sur les motions de censure déposées contre le gouvernement français et a supposé que la réforme des retraites serait définitivement approuvée ce lundi.

J’en suis sûr », a déclaré M. Ciotti, dans une interview accordée à la chaîne BFMTV, dans laquelle il a souligné que « la grande majorité du groupe Les Républicains ne votera aucune motion ». La grande majorité du groupe Les Républicains ne votera aucune motion de censure », quelques heures avant l’examen des deux initiatives soutenues par la gauche et l’extrême droite.

Les motions ont été déposées vendredi, après que le gouvernement d’Elisabeth Borne a invoqué l’article 49.3 de la Constitution pour éviter de perdre un vote sur la réforme du système de retraite. Le gouvernement d’Elisabeth Borne a invoqué l’article 49.3 de la Constitution pour éviter de perdre un vote sur la réforme des retraites et que l’initiative ne soit maintenue, au risque de mettre en péril la survie de l’exécutif lui-même. exécutif lui-même.

M. Ciotti en a appelé à la « responsabilité » de la droite traditionnelle en France, après que plusieurs députés ont publiquement exprimé leur soutien à la motion qualifiée de « transpartisane ». La motion qualifiée de « transpartisane » et soutenue, entre autres, par le leader de La France Insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon.

Pour le président des Républicains, voter en faveur de l’une ou l’autre des deux motions revient à « souhaiter » que Mélenchon devienne premier ministre, ou que la France insoumise devienne ministre. L’ancienne candidate à la présidence du Rassemblement national Marine Le Pen est chargée des finances. « Tout cela est ridicule », a-t-il déclaré.

Certains députés des Républicains estiment qu’ils peuvent atteindre 15 voix en faveur de la chute du gouvernement, bien que des sources internes du groupe consultées par Franceinfo estiment qu’ils peuvent atteindre 15 voix en faveur de la chute du gouvernement. Les sources internes du groupe consultées par Franceinfo estiment qu’il y aura entre 5 et 10 députés qui se détacheront de la ligne majoritaire, ce qui est de toute façon insuffisant pour qu’une motion aboutisse. La ligne de la majorité, insuffisante en tout état de cause pour qu’une motion aboutisse.

Sans un large soutien des Républicains, les motions sont vouées à l’échec. Pour que l’une d’entre elles soit adoptée, il lui faut le soutien de 287 législateurs, ce qui signifie qu’elle ne peut pas être adoptée sans le soutien de la majorité. de 287 législateurs – il y en aurait 289 en temps normal, mais il y a deux sièges vacants – et l’opposition n’arrive pas à faire le calcul.

Le groupe de la France Insoumise a demandé lundi l’ouverture d’une commission d’enquête sur les « pressions » présumées exercées par le gouvernement sur les députés. Le gouvernement se trouve dans une « situation explosive » à cause d’une réforme rejetée « par l’immense majorité de la population ». l’immense majorité de la population ».

SI LE GOUVERNEMENT TOMBE

De son côté, le groupe La France Insoumise a demandé lundi l’ouverture d’une commission d’enquête sur les « pressions » présumées exercées par le gouvernement sur les députés. La France Insoumise a demandé lundi l’ouverture d’une commission d’enquête sur les « pressions » qu’exercerait le gouvernement sur les députés, estimant que le pays traverse une « situation explosive » en raison d’une réforme rejetée « par l’immense majorité de la population ». la population ».

En cas de surprise, cela signifierait la chute du gouvernement actuel et le président français Emmanuel Macron devrait nommer une nouvelle équipe, sans aucune retenue. Si En effet, il serait en son pouvoir de reconduire Elisabeth Borne au poste de premier ministre, bien que l’image du leader ait été écornée par toutes ces semaines de querelles parlementaires. semaines de querelles parlementaires et de manifestations de rue.

La loi française n’oblige pas Macron à dissoudre l’Assemblée nationale et, par conséquent, à convoquer de nouvelles élections, ce que certaines des principales voix de l’opposition ont réclamé ces derniers mois. La loi française n’oblige pas Macron à dissoudre l’Assemblée nationale et donc à convoquer de nouvelles élections, ce que certaines des principales voix de l’opposition ont réclamé ces derniers mois à la suite des mobilisations déclenchées contre la réforme des retraites, qui propose, entre autres, de de relever l’âge de la retraite de 62 à 64 ans.

Depuis jeudi, les protestations ont été constantes, et ce lundi s’est levé une fois de plus avec quelques barricades et blocages, ainsi que des problèmes avec Les manifestations se poursuivent depuis jeudi, et ce lundi matin a de nouveau vu apparaître quelques barricades et blocages, ainsi que des problèmes dans certains systèmes de transport, affectant par exemple le trafic dans certains des principaux aéroports français, selon Franceinfo.

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