Si le tourisme ne constitue pas un vecteur générateur de développement économique, l’agriculture encore moins, puisque l’un comme l’autre sont tributaires d’aléas non maîtrisables par les pouvoirs publics des pays qui comptent sur eux pour attirer des dividendes nécessaires à leur développement.
Il suffirait qu’un grave attentat contre un avion ou une infrastructure touristique soit perpétré par des terroristes pour assister à des milliers de retraits de réservations ou à des retours prématurés de touristes présents sur les lieux visés par l’attaque.
Les pandémies comme celle que nous venons de subir ont occasionné un grand tassement des déplacements humains vers les pays comptant sur le tourisme pour renflouer leurs fonds de roulement financier.
Le Maroc qui avait lancé déjà en 2005 l’ambitieux objectif d’accueillir à l’horizon 2010, 10 millions de touristes, n’arrête plus de courir derrière cet objectif sans jamais l’atteindre.
Bon an mal an et en comptabilisant des millions de MRE rentrant en été au Maroc, le ministère du tourisme peine à atteindre le chiffre de 7 millions de visiteurs, MRE (Marocains résidant à l’étranger) compris.
Alors, et pour augmenter le nombre de ses touristes, l’état marocain s’est résigné à fermer les yeux et les oreilles sur l’entrée de centaines de milliers de visiteurs aux mœurs perverses à la recherche de chaire fraîche.
Ce public concerne tant les riches émirs et possédants du Golfe que les refoulés séxuels provenant d’Europe ou des USA.
Les actuels flux de « touristes juifs » venant d’Israël qui affluent par milliers au Maroc depuis les accords conclus avec les occupants de la Palestine, il y a deux ans, font lécher les babines des marchands des séjours sexuels au Maroc.
Des annonces véhiculées par des chaînes de télévisions israéliennes ne cachent pas aux candidats aux séjours marocains, l’aspect alléchant de l’offre sexuelle au pays de la commanderie des croyants.
Ce tourisme touche fortement les mineur (e)s d’âge marocains, puisqu’une grande tolérance stimulée par les autorités constitue un appel d’air continu aux pédophiles de tous poils.
Marrakech, Casablanca, Agadir, Tanger et d’autres villes côtières marocaines ont pris le relais des villes thaïlandaises, jadis très accueillantes pour ce tourisme.
En février 2013 , la grâce royale accordée à un pédophile pervers espagnol du nom de Daniel Galvan, qui avait violé dans la région de Kenitra pas moins de 11 enfants marocains, suscita un grand étonnement et une colère au sein de la population marocaine.
D’autres affaires de vlols ou d’agressions commis contre des mineurs par des Européens ou des Khalijis, defrayèrent la chronique sans que les autorités ne jugent nécessaire de poursuivre les criminels.
Le marché du sexe se porte à merveille au Maroc aujourd’hui et les Marocains semblent avoir normalisé leurs rapports avec ce phénomène.
On va même jusqu’à conduire en Mercedes, les filles parfois mineures, aux palais des émirs du Golfe bâtis dans les hauteurs de Tanger, à front de mer.
Côté riches et puissants marocains, ces mêmes mœurs sont pratiqués.
Le livre du gangster Gérard Forest dont le paternel travailla comme médecin au palais de Rabat, rapporte des témoignages ou l’horreur rivalise avec la colère.
Il n’est un secret pour personne au Maroc que d’éminents hommes politiques et financiers français ont élu domicile dans les quartiers huppés de la ville et font appel aux services des agents rabatteurs spécialisés en chasse aux jeunes prostitués pour les fournir en fesses locales.
La pauvreté et l’indigence de la population ont fait que certains quartiers des villes marocaines soient livrés aujourd’hui à la prostitution et à la pédophilie.
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