La vérité sur la face cachée de Jack Lang !

Tags : Maroc, Jack Lang, pédophilie, pédocriminalité, tourisme sexuel, Marrakech, sexe,

Des bouquins « de » Jack Lang, il en aura paru des tonnes. Mais des bouquins sur Jack, il y en a beaucoup moins. Un livre choc raconte la face cachée du socialiste *1. Culotté au possible, extrêmement angoissé, attiré par les caméras comme les moustiques par la lumière, prêt à tous les reniements imaginables, dissimulateur, et rumeurs de pédophilie ! REVELATIONS !

ENFANCE ET CROYANCES !

Le livre s’ouvre sur l’enfance très bourgeoise à Nancy ; magnifique demeure, mais Jack est très vite élevé par son grand-père, et non par son père. Plus intéressant : les rapports de Jack à la maçonnerie : son père et son grand-père étaient au Grand Orient, quant à Berthe Bouchet, la grand-mère maternelle, elle était vénérable du Droit humain. Jack et la maçonnerie, une vieille histoire d’amour…
A 34 ans, Jack est admis au Siècle, sorte d’anti-chambre de la maçonnerie, où se rencontre le tout Paris, qu’il fût de gauche ou de droite, le monde patronal, politique, financier, journalistique. Cruellement, Hollande aura cette petite phrase : « Comme il a cette formidable capacité de se lier, même superficiellement, avec tout le monde, un club comme Le Siècle était fait pour lui. »

JACK LE PEOPLE…

Jack c’est avant tout son amitié avec les artistes dits « engagés ». Lors de la première séance d’assemblée nationale avec la gauche, en mai 1981, il interdit l’entrée au public anonyme et place dans les balcons les « stars » de l’époque : Piccoli, Nicole Garcia, Laurent Terzieff, Françoise Giroud, Alain Resnais, Costa-Gavras, etc…Mais Jack doit faire face à un problème familial : à la fin du mois de mai, son frère poignarde un homme dans un bar. L’affaire est étouffée, mais elle est grave : l’homme poignardé est un innocent père de famille. Jack présente sa démission à Mitterrand, lequel la refuse. Jack, reprend pied, fort de cette confiance du « père » et de ces amis artistes.

« MONIQUE, MA FEMME »

Sa femme, Monique, surnommée « Madame Sans-Gêne » dans le ministère. Véritable femme de l’ombre, elle sera le bras armé de son mari. « C’est elle, maîtresse épouse, qui va procéder au tri de leurs relations au fur et à mesure de leur conquête du pouvoir. » Le 16 avril 1997, Julliard révèle dans le Canard enchaîné qu’elle a bénéficié de largesses de la Lyonnaise des eaux, en des proportions très supérieures à celles de Mme Tibéri. Mais, curieusement, elle ne sera jamais inquiétée. Deux poids deux mesures, toujours.

SEXUALITE ET PEDOPHILIE

Mais Jack, au-delà de cette politique paillette, ce sont aussi des rumeurs sur ses mœurs. Dès le 4 avril 1981, il est le seul homme politique à s’afficher publiquement en faveur d’une marche homosexuelle. Il fréquente très souvent le Palace, célèbre boite parisienne où se déroulaient de fameuses orgies homosexuelles. De plus une rumeur d’un voyage « secret » à Marrakech avec un beau jeune homme se répenda dans les les années 90 dans toutes les rédactions de la capitale *2 . Quoi qu’il en soit, à ces rumeurs d’homosexualité s’ajoutent celles de pédophilies. C’est Gilbert Estève qui lui apportera un soir dans son bureau la nouvelle du scandale. Il aurait participé à des soirées pédophiles où des jeunes mongoliens auraient été abusés, en compagnie de Gilbert Durand, Willy Marceau. De surcroît, Durand et Marceau sont inquiétés par la justice. Les pétitionnaires de l’époque se mobilisent : Deleuze, Glucksmann, Sartre, Kouchner, Sollers, Catherine Millet, lesquels « ne comprendraient pas que des pédophiles ne recouvrent pas la liberté » prennent la défense des pédophiles. Seul hic : Jack a évidemment signé la pétition. Il sera encore un peu plus associé à la pédophilie. Les auteurs du livre sont très prudents sur cette question de pédophilie ; ils se contentent de rapporter quelques faits, un peu à l’image de l’Express qui, sans pencher d’un côté ou d’un autre, rappelait qu’en 1996 avait à nouveau explosé une affaire de pédophilie autour de Jack et de son épouse. « En 1996, un «blanc» – document non signé – des Renseignements généraux fait allusion à une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note… détruites depuis. » Etrange.

L’ARGENT (Le Point)

Les deux auteurs rapportent une scène inouïe, qui se déroula en 1992, au restaurant : un homme paye pour Jack, à l’aide d’une carte bleue.
Jack : « C’est quoi ça ? » « Oui, c’est quoi cette carte, comment ça marche ? »
Le type : « eh bien c’est une carte bancaire… et elle permet de payer ! »
« Les restaurants ? »
« Oui entre autres… mais pas seulement… dans les boutiques, les stations-service, les supermarchés. Un peu partout ! » Discours hallucinant qui témoigne de l’ignorance absolue de la réalité quotidienne. C’est que Jack et l’argent c’est une histoire un peu tumultueuse : lorsqu’on lui évoque ses deux propriétés, celle de la place des Vosges et la résidence du Lubéron, il s’emporte : « Franchement, quand on a 60 ans, posséder un appartement de 160 mètres carrés et une petite bicoque dans le Lubéron, où est le problème ?. » Ce n’est pas faux mais 160 mètres carré place des Vosges ce n’est pas à la portée de tout le monde et la « bicoque » dans le Lubéron, c’est un peu osé : Une belle maison de 192m² dans le Vaucluse… Plein de son habituel culot, Jack dira « C’est une petite bicoque avec un bassin. Quand on est plus de trois personnes à l’intérieur, on étouffe.» Etouffer dans près de 200m² c’est insultant, on comprend que Jack compatisse pour des clandestins entassés dans un gymnase… D’où tire-t-il autant d’argent ? Nul ne le sait ; peut-être des mesquineries hallucinantes de Monique qui offre à Noël des boîtes de chocolats entamées, des cravates usagées, des bibelots brisés… Jack est ainsi bien plus radin en privé qu’en public ; on apprend que lorsqu’il dirigeait la rue de Valois, des subventions proprement stupéfiantes étaient accordées aux amis sous des motifs sentant bon l’alibi. Le plus représentatif est certainement « la minute du chien », enregistrement d’une minute d’aboiements canins à l’usage des oreilles de chiens, produite par l’OCTET, société écran de détournements financiers !

SOURCES
*1 Docteur Jack et Mister Lang de Nicolas Charbonneau, Le Cherche-Midi, 2004.
*2 Sexus Politicus de Christophe Deloire, Albin Michel, 2006.
– L’argent (Le Point)

Source via Refaire le monde

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