Fuites de Chris Coleman: Al-Marsad Media
Selon un document divulgué des fuites de Chris Coleman, qui est devenu des mois de feu avec connaissance, le document prouve que l’État marocain adopte le terme juridique pour le Sahara occidental, qui est le Sahara occidental, et non marocain dans sa correspondance diplomatique, ce qui a irrité de nombreux Marocains, non pas parce que le terme Il est considéré comme une renonciation à la prétendue souveraineté, mais plutôt comme une contradiction flagrante ou un double standard qu’Al-Makhzin poursuit en trahison et en punissant quiconque déclare publiquement le terme Sahara Occidental au sein du territoire du Royaume du Maroc, alors que ce dernier l’adopte dans sa correspondance officielle.Vague de colère sur les sites sociaux, après la fuite d’un document diplomatique, qui est une correspondance au Consulat général du Royaume du Maroc à Strasbourg, où l’expression « Sahara occidental » a été mentionnée.
Comme il ressort du document en date du 24 juin 2014, le Consulat Général du Royaume du Maroc à Strasbourg (France), a écrit au Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, pour l’informer de la dernière décision de la Commission Droit et Droit Comité des droits sur la question du « Sahara occidental », comme l’indique le document officiel.
Les pionniers des sites sociaux se sont fâchés, après avoir fait circuler le document, accusant l’Etat marocain de « redoubler d’exigence » dans la gestion de la question du Sahara, et de « se moquer de la barbe », en donnant suite aux détracteurs de la gestion de la question par l’Etat. , les accusant d’emploi et de trahison, et servant des agendas étrangers contre l’intégrité territoriale, Et si l’État assure aux citoyens qu’il dit lui-même « Sahara occidental » dans sa correspondance officielle et gouvernementale, selon des militants.
Bien que le site n’ait pas été en mesure de vérifier l’authenticité des documents et des e-mails divulgués entre un certain nombre d’hommes politiques, de journalistes et de professionnels des médias, et au milieu de « l’étonnement » des autorités officielles marocaines, le ministre de la Communication, porte-parole officiel de Le gouvernement, Mustafa El Khalfi, a admis que cet acte vise à nuire à l’image du Maroc, de la part de parties extérieures hostiles, comme l’a décrit le ministre.
Salah El-Din Mezouar, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, a quant à lui justifié cet acte comme « la mise en oeuvre du renseignement algérien », soulignant que le Maroc n’hésitera pas à « présenter des arguments et des preuves prouvant l’implication du voisin oriental dans l’approvisionnement le conflit sur le Sahara marocain », lors d’une réunion du comité du ministère des Affaires étrangères à la Chambre des conseillers, au début de ce mois,
et dans l’attente d’une réponse à ce qui est divulgué, le récit de « Chris Coleman » continue de révéler des centaines de documents et les e-mails de nombreuses personnalités marocaines.