Algérie – Septembre, Sonatrach donnait la couleur d’une nouvelle façon de faire dans la manière d’envisager l’International. Et ce, en actionnant le levier du Lobbying.
Le fleuron national des hydrocarbures avait mandaté, comme le rapportait ALG24 dans on édition du 13 septembre, le Cabinet « International Policy Solutions ». Objectif : défendre ses intérêts et ceux de l’Algérie, aux Etats-Unis. Un contrat de 300.000 dollars destiné principalement à promouvoir et vendre le potentiel du marché Algérien dans ce segment aux opérateurs américains.
Outre l’économie, le lobbying Politique Algérien revient dans le devant de la scène. Selon ce que révèle Maghreb Confidentiel dans son édition de ce jeudi 8 novembre, le Cabinet Folley Hoag a discrètement relancé son lobbying à Washington pour le compte de l’Algérie et du Polisario.
L’Algérie décide de réinvestir le terrain…
Selon le magazine, le cabinet a eu, depuis avril, une trentaine de réunions avec des diplomates du Département d’Etat. Ainsi que des sénateurs et représentants, majoritairement Démocrates. Objectif : promouvoir la relation bilatérale Algérie-Etats-Unis, mais aussi et surtout le « droit à l’autodétermination » du Sahara Occidental.
Cette offensive est menée dans le cadre d’un contrat attribué en 2007 à Folley Hoag. Ce dernier était en sommeil depuis plusieurs années. Ce Cabinet est aussi, depuis 1993, le lobbyiste attitré de la République Arabe Sahraoui Démocratique (RASD). Même si ce contrat semble toujours « dormant », souligne MC.
Ainsi, Alger, qui a longtemps abandonné la colline du Capitole aux très actifs lobbyistes du Maroc, a décidé de réinvestir ce terrain.
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