Les filons d’or dont regorge le désert algérien attirent les orpailleurs. Ils proviennent du Mali, du Niger, du Tchad, du Soudan et de bien d’autres pays africains parfois. Ils sont bien informés sur le sujet puisqu’ils visent directement les zones où a été détecté l’or (Tamanrasset et le sud-ouest de Djanet).
Ils constituent des bandes parfaitement organisées, informées et surtout équipées de tout le matériel nécessaire à ce genre d’opération. «Les groupes sont bien préparés. Après avoir traversé les frontières, ils sont accueillis par des bandes qui les ravitaillent en eau et en carburant. Ils possèdent tout le matériel nécessaire. Ce qui attire surtout l’attention, ce sont les véhicules dont ils disposent. Ils ont des motos et des 4×4 très puissants». Les orpailleurs peuvent parfois constituer des groupes allant de 200 à 300 personnes. Parmi eux, on détecte souvent la présence d’enfants ou de très jeunes personnes dont l’âge varie entre 14 et 16 ans. Leurs aînés n’hésitent pas à leur attribuer de rudes tâches.
L’extraction s’effectue de manière traditionnelle. A l’aide d’un marteau-piqueur, ils perforent un point donné puis ils passent à l’explosion. «Auparavant, ils étaient équipés d’appareils qui détectent tous les minéraux magnétiques mais depuis un certain temps, ils ont acquis un matériel plus sophistiqué, ils détectent uniquement l’or». Une fois l’explosion opérée, l’or est récupéré dans des roches où le quartz se mêle au zinc, au fer…
Après l’extraction des roches contenant le précieux métal, les orpailleurs opèrent en sens inverse. Une partie de la bande est chargée d’acheminer l’or vers le Niger car c’est là que s’effectuera l’opération de broyage, de lavage et enfin de récupération des pépites. Le lavage s’effectue de manière traditionnelle, à la batée. Les femmes y prennent part en grand nombre.
Les filons d’or dont regorge le désert algérien attirent les orpailleurs. Ils proviennent du Mali, du Niger, du Tchad, du Soudan et de bien d’autres pays africains parfois. Ils sont bien informés sur le sujet puisqu’ils visent directement les zones où a été détecté l’or (Tamanrasset et le sud-ouest de Djanet).
Ils constituent des bandes parfaitement organisées, informées et surtout équipées de tout le matériel nécessaire à ce genre d’opération. «Les groupes sont bien préparés. Après avoir traversé les frontières, ils sont accueillis par des bandes qui les ravitaillent en eau et en carburant. Ils possèdent tout le matériel nécessaire. Ce qui attire surtout l’attention, ce sont les véhicules dont ils disposent. Ils ont des motos et des 4×4 très puissants». Les orpailleurs peuvent parfois constituer des groupes allant de 200 à 300 personnes. Parmi eux, on détecte souvent la présence d’enfants ou de très jeunes personnes dont l’âge varie entre 14 et 16 ans. Leurs aînés n’hésitent pas à leur attribuer de rudes tâches.
L’extraction s’effectue de manière traditionnelle. A l’aide d’un marteau-piqueur, ils perforent un point donné puis ils passent à l’explosion. «Auparavant, ils étaient équipés d’appareils qui détectent tous les minéraux magnétiques mais depuis un certain temps, ils ont acquis un matériel plus sophistiqué, ils détectent uniquement l’or». Une fois l’explosion opérée, l’or est récupéré dans des roches où le quartz se mêle au zinc, au fer…
Après l’extraction des roches contenant le précieux métal, les orpailleurs opèrent en sens inverse. Une partie de la bande est chargée d’acheminer l’or vers le Niger car c’est là que s’effectuera l’opération de broyage, de lavage et enfin de récupération des pépites. Le lavage s’effectue de manière traditionnelle, à la batée. Les femmes y prennent part en grand nombre.
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