Une délégation sahraouis conduite par le ministre des AE, Mohamed Salem Ould Salek, entame ce lundi à Madrid avec le PSOE (parti eu pouvoir), une séries de rencontres avec les partis politiques espagnols pour analyser la situation au Sahara occidental, territoire occupé militairement par le Maroc depuis 1975, a-t-on appris de sources médiatiques espagnoles.
La rencontre devra permettre au Polisario de demander au PSOE que dirige le Chef du Gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatéro, de clarifier sa position s’il est en faveur de la légalité internationale et de l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, a indiqué le Représentant du Front Polisario en Espagne, Bouchraya Beyoun, dans une déclaration diffusé par la presse locale.
Pour M. Beyoun, les partis politiques espagnols doivent être conséquents avec les motions adoptées à l’unanimité au Parlement et au Sénat espagnols à la fin de l’an dernier dans lesquelles ils défendent le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.
La délégation du PSOE est dirigée par le Secrétaire d’Organisation du parti, Marcelino Iglesias, accompagné par la responsable de la Politique internationale de la formation socialiste, Elena Valenciano, a-t-on indiqué de même source.
M. Ould Salek est accompagné notamment par M. Beyoun et par M. Boukhari Ahmed, représentant du Polisario auprès de l’ONU.
Tous les partis politiques représentés au Parlement espagnol ont fustigé le Gouvernement Zapatéro pour s’être abstenu de condamner le démantèlement sanglant de Gdeim Izizk par les forces armées marocaines le 8 novembre 2010 et avaient dirigé des critiques dures à la ministre des AE, Trinidad Jiménez, pour son silence face à la féroce répression marocaine à El Aaiun.
Ils avaient alors exigé une condamnation ferme des faits et appelé l’exécutif à ne pas sacrifier la défense des droits humains et de la dignité du peuple sahraoui pour des intérêts économiques avec le Maroc.
Le Polisario se réunira tout au long de la semaine avec les autres formations politiques espagnoles (PP, CiU, PNV, CC, UPyD e IU), a indiqué la presse espagnole.
La rencontre devra permettre au Polisario de demander au PSOE que dirige le Chef du Gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatéro, de clarifier sa position s’il est en faveur de la légalité internationale et de l’organisation d’un référendum au Sahara occidental, a indiqué le Représentant du Front Polisario en Espagne, Bouchraya Beyoun, dans une déclaration diffusé par la presse locale.
Pour M. Beyoun, les partis politiques espagnols doivent être conséquents avec les motions adoptées à l’unanimité au Parlement et au Sénat espagnols à la fin de l’an dernier dans lesquelles ils défendent le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.
La délégation du PSOE est dirigée par le Secrétaire d’Organisation du parti, Marcelino Iglesias, accompagné par la responsable de la Politique internationale de la formation socialiste, Elena Valenciano, a-t-on indiqué de même source.
M. Ould Salek est accompagné notamment par M. Beyoun et par M. Boukhari Ahmed, représentant du Polisario auprès de l’ONU.
Tous les partis politiques représentés au Parlement espagnol ont fustigé le Gouvernement Zapatéro pour s’être abstenu de condamner le démantèlement sanglant de Gdeim Izizk par les forces armées marocaines le 8 novembre 2010 et avaient dirigé des critiques dures à la ministre des AE, Trinidad Jiménez, pour son silence face à la féroce répression marocaine à El Aaiun.
Ils avaient alors exigé une condamnation ferme des faits et appelé l’exécutif à ne pas sacrifier la défense des droits humains et de la dignité du peuple sahraoui pour des intérêts économiques avec le Maroc.
Le Polisario se réunira tout au long de la semaine avec les autres formations politiques espagnoles (PP, CiU, PNV, CC, UPyD e IU), a indiqué la presse espagnole.
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