« J’a été rouée de coups de matraques, insultée, agressée à travers des pratiques dégradantes et inhumaines ». J’ai été également interrogée par les différents services de renseignement marocains au bureau du soi-disant procureur à l’intérieur du centre de la gendarmerie marocaine dans la ville occupée d’El Aaiun (capitale oocupée du Sahara Occidental, ndds), au sujet de ma participation dans les protestation du camp de Gdeim Izik », a-t-elle précisé.
D’autre part, deux activistes sahraouies, Kaltoum Lebsir et Mariam Bourhimi, arrêtées dimanche à l’aéroport de Casablanca (Maroc) à leur retour d’Afrique du sud, ont été également mises en liberté provisoire mercredi jusqu’au 24 mars prochain. (SPS)
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