Dans le but de s’approprier le Sahara Occidental, le Maroc essaie par tous les moyens d’impliquer le Front Polisario dans le terrorisme. Une bataille perdue d’avance tant le Polisario est connu comme un mouvement de libération dont l’action n’a jamais dépassé le champ de bataille proprement dit, là où les unités militaires de sa majesté ont été décimées l’une après l’autre pendant plus de 15 ans. Là où les cadavres de beaucoup de soldats marocains, laissés à cause de la debandade après une attaque sahraouie, ont été dévorés par les chiens qu’ils utilisaient pour faire la garde pendant la nuit.
Au lieu de courir derrière les nuages, le Maroc ferait mieux de contrôler sa propre troupe pour que l’Europe ne connaisse pas un deuxième 11-M, en allusion aux attentats de Madrid de 2004. Ses auteurs n’étaient pas des sahraouis mais bel et bien marocains. Pire encore, ils étaient bien « intégrés », ce qui laisse beaucoup d’interrogations en l’air.
Jusqu’à présent, les marocains continuent de faire la une des journaux à cause de leur implication dans le terrorisme. Un officier des services secrets espagnols vient de le confirmer dans une interview avec le journal Région de Malaga, la communauté internationale se trompe. Le Maroc n’est pas un rempart contre le terrorisme. Au contraire. « Dans tous les attentats commis en Europe, il y avait des marocains, et cela sans tenir en compte la participation possible des services secrets marocains dans le 11-M. » L’espion espagnol ajoute que « le Maroc exporte, aujourd’hui, plus de terroristes que n’importe quel autre pays du monde » et il ajoute que le Maroc finira par attaquer l’Espagne dans le but d’exacerber son nationalisme autour de la couronne.
Mais, apparemment, tout ce la n’est pas assez. Il a fallu que le Maroc fournisse des terroristes d’un autre genre : les hackers qui s’attaquent à des sites jugés « contre l’Islam ».
Dernièrement, des hommes d’affaires espagnols ont ouvert une boite de nuit sous forme de mosquée dans la ville de Murcie en Espagne et ils l’ont appelé La Mecque. Selon le site Zorba-Maroc, des hackers marocains ont détruit son site internet. Les hackers ont laissé des versets du Coran sur la page d’accueil du site menaçant ainsi les administrateurs de détruire le contenu du site.
Selon le journal La Verdad.Es la Coordonatrice de la Société Civile du Nord du Maroc (la même association qui a mobilisé les casseurs de la frontière de Melilla) a adressé un appel aux Oulemas pour les inviter à se prononcer sur la relation existante entre le PP et des associations islamiques de Ceuta et Melilla, « surtout que ce parti a promu et autorisé le nom de La Mecque pour une discothèque dans une localité côtière de Murcie, gouvernée par ce parti extrémiste », ajoute textuellement la Coordonatrice.
Selon le journal La Verdad.Es la Coordonatrice de la Société Civile du Nord du Maroc (la même association qui a mobilisé les casseurs de la frontière de Melilla) a adressé un appel aux Oulemas pour les inviter à se prononcer sur la relation existante entre le PP et des associations islamiques de Ceuta et Melilla, « surtout que ce parti a promu et autorisé le nom de La Mecque pour une discothèque dans une localité côtière de Murcie, gouvernée par ce parti extrémiste », ajoute textuellement la Coordonatrice.
Ainsi, le Maroc est précurseur en cyber-terrorisme, une méthode déjà pratiquée par le Makhzen contre les pages web du Front Polisario.
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