Le journal Le Quotidien d’Oran rapporte dans son édition d’aujourd’hui, que des bouchers de nombreuses villes de la wilaya de Tlemcen se plaignent du prix des animaux de boucherie, notamment le bœuf, qui a grimpé ces derniers mois d’une manière vertigineuse. «Des contrebandiers marocains et algériens envahissent les souks hebdomadaires et achètent à n’importe quel prix les animaux. Ils ne discutent même pas les prix fixés par les marchands de bétail», déclarent de nombreux bouchers de la ville de Tlemcen. «Un bœuf de 250 kilogrammes qui se vendait à 14 millions de centimes est passé à 22 millions de centimes. Parce que la viande rouge de notre pays est très consommée au Maroc, vu sa bonne qualité», ajouteront-ils.
Ainsi, ajoute le journal, les viandes rouges s’ajoutent à la longue liste des produits de contrebande qui touche les produits alimentaires comme la farine, le lait en poudre, le fromage, le yaourt, les produits pharmaceutiques et autres cosmétiques, ainsi que les pièces de rechange auto et pneumatiques neufs, en passant par le prêt-à-porter et le textile, l’électroménager, le matériel électrique, la quincaillerie, la peinture, le sanitaire et autres matériaux de construction comme le rond à béton ou le ciment et les carburants. Les contrebandiers, regroupés en bandes organisées, utilisent des moyens de transport lourds ainsi que les mêmes circuits que ceux utilisés pour acheminer les autres produits de contrebande. Par ailleurs, les villes d’Oujda, Béni-Drar et Nador constituent les centres favoris pour la réception et la vente de ces animaux. «Comme les chèvres qui produisent un lait de qualité, la vache d’Algérie, un label recherché, est de plus en plus prisée par les Marocains mais aussi par les émigrés du Maroc qui font des voyages réguliers entre le Maroc et l’Europe et ramènent avec eux de grandes quantités de viande rouge algérienne», nous dira un boucher de la ville de Maghnia.
Ainsi, malgré les saisies de bétail opérées par les services de sécurité au niveau de la bande frontalière de Marsat Ben M’hidi, Bab-El-Assa, Maghnia, Béni-Boussaïd, Sidi Djillali et Bouihi, la contrebande du bétail entre l’Algérie et le Maroc connaît, ces dernières années, un essor spectaculaire.
C’est une nouvelle qui contribuera largement à doper l’égo de ces marocains qui surfent sur la toile prêchant la misère en Algérie et le paradis au Maroc. Oui, paradis pour la mafia de l’argent, le toursime sexuel, la pédophilie, la prostitution, les sionistes…
Grâce à la propagande véhiculée par des dizaines de médias à la solde du régime corrompu de Mohamed VI, les ressortissants de la diaspora marocaine rêvent les yeux ouverts. Pour eux, si le Maroc n’a pas été à la Lune comme les américains c’est à cause de l’envie des autres.
Le Sahara Occidental? Une bataille gagnée depuis longtemps. Le vacarme monté au sujet de cette affaire, ce n’est qu’un cirque monté par les autorités marocaines pour maintenir l’animation au niveau régional. Ben oui, puisque le Maroc est l’oxygène et le sang de la région et de ses peuples. Tout cela grâce à l’avénement de Mohamed VI qui, du jour au lendemain, comme par magie, a tout transformé : les lieux pauvres sont devenus riches, les injustices ont disparu à jamais pour laisser la place à la loi, la démocratie et le développement durable. Par la baraka des ancêtres de sa Majesté. Le miracle accompli par Mohamed VI est la preuve irréfutable de sa lignée directe avec le prophète Mouhammad (salla allahou 3aleihi wa sallam).
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