Il est devenu habituel de constater la nervosité du régime marocain à chaque fois que le roi Mohamed VI fait est obligé à se manifester. Inutile de rappeler que ce n’est pas l’expansion de la pauvreté, ni la crise économique présagée ni la constante violation des droits de l’homme au Maroc qui préoccupent le souverain marocain et ses acolytes, mais c’est bel et bien le conflit du Sahara Occidental. Son père, le sanguinaire Hassan II, avait déjà perdu le sommeil à cause de la bravoure des combattants sahraouis. Mohamed VI est en train de perdre la tête. Son dernier recours : la menace. Faute de trouver des arguments valables pour justifier l’agression contre les sahraouis.
« Le Maroc ne cédera pas un pouce de son Sahara », a répété Mohamed VI. C’est justement ce qui avaient juré les sahraouis et ils l’ont défendu avec courage et détermination. Et Mohamed VI ira au ciel sans voir le Sahara devenir marocain. Quelles que soient ses alliances et ses mentors.
Le comble de la stupidité du régime corrompu de Rabat est de croire cependant qu’il peut continuer à tromper les masses marocaines avec une cause perdue d’avance.
Les gouvernants de Rabat, conscients de l’échec de leur entreprise sahraouie, cherchent par tous les moyens de maintenir le statu quo pour gagner du temps. Le transfuge en chef, Alias Hadrami, leur a inculqué l’idée « géniale » de tenir le plus long possible parce que « les sahraouis ne tiendront pas longtemps encore ». Cela a été dit en 1989. Il y a vingt-deux ans. Fort est de constater que la lutte du peuple sahraoui, depuis lors, n’a fait que se consolider et les succès diplomatiques ne font que s’accumuler et le Sahara Occidental est inscrit dans l’agenda actuelle de la communauté internationale. Le principe d’autodétermination est plus que jamais à jour comme base de toute solution au conflit. Le Maroc est harcelé par les ONG’s de droits de l’homme et la façade de l’image restaurée du Maroc est tombée.
« Le Maroc ne cédera pas un pouce de son Sahara », a répété Mohamed VI. C’est justement ce qui avaient juré les sahraouis et ils l’ont défendu avec courage et détermination. Et Mohamed VI ira au ciel sans voir le Sahara devenir marocain. Quelles que soient ses alliances et ses mentors.
Le comble de la stupidité du régime corrompu de Rabat est de croire cependant qu’il peut continuer à tromper les masses marocaines avec une cause perdue d’avance.
Les gouvernants de Rabat, conscients de l’échec de leur entreprise sahraouie, cherchent par tous les moyens de maintenir le statu quo pour gagner du temps. Le transfuge en chef, Alias Hadrami, leur a inculqué l’idée « géniale » de tenir le plus long possible parce que « les sahraouis ne tiendront pas longtemps encore ». Cela a été dit en 1989. Il y a vingt-deux ans. Fort est de constater que la lutte du peuple sahraoui, depuis lors, n’a fait que se consolider et les succès diplomatiques ne font que s’accumuler et le Sahara Occidental est inscrit dans l’agenda actuelle de la communauté internationale. Le principe d’autodétermination est plus que jamais à jour comme base de toute solution au conflit. Le Maroc est harcelé par les ONG’s de droits de l’homme et la façade de l’image restaurée du Maroc est tombée.
La crise économique bat son plein malgré les efforts des médias du Makhzen pour cacher cela. Les conseillers du roi s’énervent et demande au roi Mohamed VI de se faire agressif. Le but : obtenir la réouverture des frontières et sauver l’économie de son pays et ainsi sauver la monarchie.
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