Abbas El-Fassi, le Premier ministre du Maroc, reproche à l’Algérie ses décisions prises souverainement en conformité avec nos valeurs. L’homme n’est pas d’accord sur la manière dont les autorités algériennes dépenseraient les sous du pays. Ainsi, il leur reproche de consacrer les revenus du pétrole et du gaz algériens à la propagande et au soutien du Front Polisario au détriment du développement du pays et des besoins du peuple algérien. Abbas El-Fassi ferait-il de la concurrence déloyale à nos partis d’opposition, moins loquaces? Et puis, il est immanquablement revenu tel un ancien «45 tours» rayé sur l’histoire de la frontière qu’il reproche à l’Algérie de garder fermée alors que le résultat d’un récent sondage du journal marocain Al-Alam démontrait que la majorité des sujets marocains sondés étaient pour le maintien de sa fermeture. Un autre sondage démontrerait peut-être qu’ils seraient plus intéressés par des facilités espagnoles à Ceuta et Melilla. Abbas El-Fassi, comme d’ailleurs son hôte français François Fillon, ont tenu à réaffirmer que la proposition d’autonomie était un passage obligé pour la solution du conflit du Sahara occidental, que tout
le monde devait s’y conformer et que le Polisario n’a qu’une possibilité : choisir à quelle sauce il sera bouffé. Des propos refusés lorsqu’ils étaient appuyés par le napalm il y a 35 ans. Aujourd’hui, le tandem Maroc-France veut obtenir par le verbe ce qu’il n’a pas obtenu hier par la force des armes. De «mauvais élèves», dirait Giap. Le Premier ministre français fait aussi de la surenchère, mais, lui, c’est plutôt en direction de son homologue marocain. Un accord est, dit-il, «absolument indispensable pour le développement et la sécurité de la région». «Parole juste pour des visées injustes», comme dirait l’imam Ali, gendre du prophète (QSSSL). Aujourd’hui, la RASD se trouve être membre fondateur de l’UA, l’organisation de cette Afrique que la France prétend respecter. Mohamed Abdelaziz, son président, figurait en tant qu’invité d’honneur au Mondial
en Afrique du Sud. L’UA appuie la solution référendaire qu’elle avait parrainée en tant qu’OUA. L’UE «a la même position que l’Algérie» sur le Sahara occidental, nous dit Mourad Medelci, notre ministre des Affaires étrangères. Cela encourage-t-il à un recul sahraoui ?
Rien ne s'obtient sans la lutte armée! Aujourd'hui les équipements pour détruire un objectif à distance existent et tout çà!
Sans perte de vies humaines…sur la base de.
1)L'observation = Drone.
2)Le tir = Lieu de départ d'un missile.
3)La guidance = Suivi du missile à distance (proche ou lointaine) c'est selon…
3)éclairage de l'objectif par le drone…Le missile se dirige sur l'objectif illuminé!
Reprenez votre lutte; Il y a trop d'enfants sahraoui qui naissent et grandissent dans l'exile sans jamais connaitre leur pays!
– Des apatrides voilà ce qu'ils sont capable de faire…par ambition et avidité…Alors voilà! Demandez ces équipement pour libérer votre pays !