Le mensuel Afrique-Asie publie, dans sa livraison du mois de juillet, un dossier de 24 pages intitulé «Algérie : sur la voie des dragons» qui coïncide avec le 48e anniversaire du recouvrement de l’indépendance nationale.
Le directeur de la rédaction, Madjed Nehmé, dans son éditorial «les raisons de la colère», revient sur les relations algéro-françaises et souligne qu’«entre l’Algérie et la France, ce ne sont ni les sautes d’humeur ni les petites phrases qui forment la trame des relations conflictuelles (à) Des problèmes de fond touchant au passé, au présent et à l’avenir demeurent non résolus qui ne cessent de ressurgir», ajoute-t-il.
Le dossier consacre une grande place au plan quinquennal 2010-2014 initié par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
L’auteur de l’article, «Sur la voie des dragons», a considéré qu’«avec le lancement d’un programme d’investissements massifs de 286 milliards de dollars sur cinq ans, le président Bouteflika entend faire de l’Algérie une puissance économique solide, à l’image des nouveaux pays industrialisés d’Asie». «Le plan quinquennal 2010-2014, annoncé par le chef de l’Etat, est marqué par son ampleur : 286 milliards de dollars. Aucun pays en développement n’a jamais atteint un tel niveau d’investissements. L’Algérie n’a jamais affiché un chiffre aussi colossal depuis son indépendance», écrit l’auteur qui ajoute que ce plan se distingue également par sa finalité.
«Après une décennie de rattrapage économique à marche forcée (300 milliards de dollars investis), l’Etat, à sa manière volontariste, veut parachever ses infrastructures routières, ferroviaires, hydrauliques, énergétiques, portuaires et aéroportuaires», souligne-t-il, en rappelant que «depuis son accession au pouvoir, il y a dix ans, le Président aura ainsi consacré quelque 600 milliards de dollars à la modernisation de son pays pour le préparer à l’après-pétrole.
S’il est encore lointain, ce dernier ne manquera pas d’arriver un jour. Sa croissance consolidée et pérennisée, l’Algérie sera prête à faire ses premiers pas de +dragon de la Méditerranée+ qu’elle ambitionne de devenir».
L’action diplomatique de l’Algérie a été également abordée dans ce dossier qui souligne que «l’Algérie, acteur clé de la scène arabe, s’est bien adaptée au monde changeant du 21e siècle, sans renier les principes qui fondent sa politique étrangère depuis la guerre d’indépendance ni renoncer à la défense des causes justes».
Le dossier consacre une grande place au plan quinquennal 2010-2014 initié par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
L’auteur de l’article, «Sur la voie des dragons», a considéré qu’«avec le lancement d’un programme d’investissements massifs de 286 milliards de dollars sur cinq ans, le président Bouteflika entend faire de l’Algérie une puissance économique solide, à l’image des nouveaux pays industrialisés d’Asie». «Le plan quinquennal 2010-2014, annoncé par le chef de l’Etat, est marqué par son ampleur : 286 milliards de dollars. Aucun pays en développement n’a jamais atteint un tel niveau d’investissements. L’Algérie n’a jamais affiché un chiffre aussi colossal depuis son indépendance», écrit l’auteur qui ajoute que ce plan se distingue également par sa finalité.
«Après une décennie de rattrapage économique à marche forcée (300 milliards de dollars investis), l’Etat, à sa manière volontariste, veut parachever ses infrastructures routières, ferroviaires, hydrauliques, énergétiques, portuaires et aéroportuaires», souligne-t-il, en rappelant que «depuis son accession au pouvoir, il y a dix ans, le Président aura ainsi consacré quelque 600 milliards de dollars à la modernisation de son pays pour le préparer à l’après-pétrole.
S’il est encore lointain, ce dernier ne manquera pas d’arriver un jour. Sa croissance consolidée et pérennisée, l’Algérie sera prête à faire ses premiers pas de +dragon de la Méditerranée+ qu’elle ambitionne de devenir».
L’action diplomatique de l’Algérie a été également abordée dans ce dossier qui souligne que «l’Algérie, acteur clé de la scène arabe, s’est bien adaptée au monde changeant du 21e siècle, sans renier les principes qui fondent sa politique étrangère depuis la guerre d’indépendance ni renoncer à la défense des causes justes».
Commentaire de Diaspora Saharaui :
L’Algérie n’a pas changé sa politique extérieure d’un iota depuis les années 1960 concernant la défense de la liberté et l’indépendance des pays du Tiers Monde, si convoités par les puissances occidentales. Le Maroc, dans le but de rendre son occupation du Sahara Occidental définitive, n’a pas hésité à vendre son âme au diable. Une des phrases les répétées par le roi Mohamed VI et ses courtisans est : « Donnez-moi le Sahara et prenez ce que vous voulez, les phosphates, les poissons, et même si vous voulez installer l’AFRICOM, vous êtes les bienvenus ».
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