Jeudi 17 juin 2010 en fin d’après-midi, une patrouille de la police marocaine a enlevé Hasana Aalaia dans une rue de la ville de El Aaiun – Sahara occidental.
Le militant sahraoui a été tabassé et interrogé avant d’être libéré dans un lieu désert loin de la ville.
Selon M. Hasana Aalaia, 22 ans, les agents de la patrouille de police l’ont encerclé dans la rue du 24 novembre, alors qu’il était accompagné d’un collègue, Mohammad Hali, 23 ans.
Ils l’ont couvert de coups de poing et l’ont forcé à monter la voiture de patrouille.
L’enquête et les coups ont duré 45 minutes, pendant lesquelles il était menotté.
Les questions ont eu pour objet les relations de Hasana Aalaia avec certaines personnes, son intention d’organiser des manifestations festives pour l’anniversaire du soulèvement de ZAMLA.
Après les coups, les policiers lui ont proposé un drapeau de la République Arabe Sahraouie Démocratique pour essuyer le sang qui couvrait son visage. Hasana a refusé d’utiliser comme cela du drapeau pour lequel il milite.
Il a été libéré dans le désert loin après aéroport de la ville, blessé au niveau du visage, des jambes et du dos.
Les policiers lui ont recommandé d’aller se montrer à tous pour que chacun sache ce qu’ils pratiquent.
Le militant sahraoui a été tabassé et interrogé avant d’être libéré dans un lieu désert loin de la ville.
Selon M. Hasana Aalaia, 22 ans, les agents de la patrouille de police l’ont encerclé dans la rue du 24 novembre, alors qu’il était accompagné d’un collègue, Mohammad Hali, 23 ans.
Ils l’ont couvert de coups de poing et l’ont forcé à monter la voiture de patrouille.
L’enquête et les coups ont duré 45 minutes, pendant lesquelles il était menotté.
Les questions ont eu pour objet les relations de Hasana Aalaia avec certaines personnes, son intention d’organiser des manifestations festives pour l’anniversaire du soulèvement de ZAMLA.
Après les coups, les policiers lui ont proposé un drapeau de la République Arabe Sahraouie Démocratique pour essuyer le sang qui couvrait son visage. Hasana a refusé d’utiliser comme cela du drapeau pour lequel il milite.
Il a été libéré dans le désert loin après aéroport de la ville, blessé au niveau du visage, des jambes et du dos.
Les policiers lui ont recommandé d’aller se montrer à tous pour que chacun sache ce qu’ils pratiquent.
ASVDH/APSO, le 18 juin 2010.
Soyez le premier à commenter