M. Z.(mohamed_zaaf@yahoo.fr )
Le quotidien El Fadjr, , nous apprend qu’Alger a refusé l’invitation des marines à entreprendre des manœuvres militaires communes en terre malienne. El Fadjr qui dit tenir cette révélation d’une source diplomatique américaine nous confirme par ailleurs que les forces de l’ANP n’ont pris part à aucun moment à l’exercice militaire multinational Flintlock 2010 qui a regroupé dans la zone du Sahel quelque
1 200 soldats originaires de divers pays, dont la France. Dans les faits, il était demandé à l’Algérie de participer non pas à des manœuvres à deux, traditionnellement soumises à la souveraineté locale, mais de rejoindre le troupeau dans le cadre d’une force multinationale qu’on a apparemment décidée sans la consulter. Une force pilotée d’ailleurs et qui arrive avec ses grands sabots pour agir à sa guise sans l’aval du voisinage, sans même en référer à l’ONU ou à l’UA. La réserve de l’Algérie ne peut alors que remplir ses fils de fierté. Que les marines aillent voir du côté des FAR, il est certain qu’ils les trouveront plus réceptives et autrement plus flexibles que notre rigide ANP. Les FAR seront sûrement intéressées d’autant qu’au Mali, le trône revendique quelque chose, comme au Sahara occidental, en Mauritanie ou même chez nous ou sur les rochers brûlants de la Méditerrannée. Des manœuvres qui serviront au moins à faire prendre conscience aux voisins de l’Ouest que la messe ne se dit plus au nom du roi dans ces contrées où désormais s’érigent des Républiques et que le pouvoir y change de main, y compris par la force. Pour leur part, les marines gagneront énormément aussi à se frotter à l’expérience des FAR dans la lutte antiterroriste. Le Maroc est en effet le seul pays de la région où le terrorisme compte une forte présence médiatique sans jamais passer à l’action. Au Maroc, le terrorisme se fait virtuellement taper sur les doigts dès qu’on lui prête la moindre intention d’allumer un… cierge. Bien assimiler l’expérience marocaine, c’est en finir à jamais avec les 11 septembre, sans recourir aux scanners corporels, ces engins coûteux et à histoires. Donc, il n’y a pas à hésiter, il faut singer le Maroc, lui qui tenait tellement à faire partie de la force sahélo-saharienne installée en toute souveraineté à Tamanrasset, à l’instar de la RASD à Tindouf.
Le Jeune Indépendant
Le quotidien El Fadjr, , nous apprend qu’Alger a refusé l’invitation des marines à entreprendre des manœuvres militaires communes en terre malienne. El Fadjr qui dit tenir cette révélation d’une source diplomatique américaine nous confirme par ailleurs que les forces de l’ANP n’ont pris part à aucun moment à l’exercice militaire multinational Flintlock 2010 qui a regroupé dans la zone du Sahel quelque
1 200 soldats originaires de divers pays, dont la France. Dans les faits, il était demandé à l’Algérie de participer non pas à des manœuvres à deux, traditionnellement soumises à la souveraineté locale, mais de rejoindre le troupeau dans le cadre d’une force multinationale qu’on a apparemment décidée sans la consulter. Une force pilotée d’ailleurs et qui arrive avec ses grands sabots pour agir à sa guise sans l’aval du voisinage, sans même en référer à l’ONU ou à l’UA. La réserve de l’Algérie ne peut alors que remplir ses fils de fierté. Que les marines aillent voir du côté des FAR, il est certain qu’ils les trouveront plus réceptives et autrement plus flexibles que notre rigide ANP. Les FAR seront sûrement intéressées d’autant qu’au Mali, le trône revendique quelque chose, comme au Sahara occidental, en Mauritanie ou même chez nous ou sur les rochers brûlants de la Méditerrannée. Des manœuvres qui serviront au moins à faire prendre conscience aux voisins de l’Ouest que la messe ne se dit plus au nom du roi dans ces contrées où désormais s’érigent des Républiques et que le pouvoir y change de main, y compris par la force. Pour leur part, les marines gagneront énormément aussi à se frotter à l’expérience des FAR dans la lutte antiterroriste. Le Maroc est en effet le seul pays de la région où le terrorisme compte une forte présence médiatique sans jamais passer à l’action. Au Maroc, le terrorisme se fait virtuellement taper sur les doigts dès qu’on lui prête la moindre intention d’allumer un… cierge. Bien assimiler l’expérience marocaine, c’est en finir à jamais avec les 11 septembre, sans recourir aux scanners corporels, ces engins coûteux et à histoires. Donc, il n’y a pas à hésiter, il faut singer le Maroc, lui qui tenait tellement à faire partie de la force sahélo-saharienne installée en toute souveraineté à Tamanrasset, à l’instar de la RASD à Tindouf.
Le Jeune Indépendant
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