Berlin (Allemagne) 28/04/2010 (SPS) Des ONG allemandes on appelé mercredi, lOrganisation des Nations Unies à faire pression sur le Maroc pour quil libère tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent encore dans les prisons marocaines, et à la décolonisation sans plus tarder du Sahara occidental, a indiqué une source proche de la représentation du Front Polisario en Allemagne.
Le parti social démocrate, le Comité de solidarité avec le peuple sahraoui, l’Association de la solidarité mondiale, lassociation allemande de soutien aux malades de la variole et la tuberculose, lassociation pour les peuples menacés, lassociation européenne des juristes et avocats pour la défense de la démocratie et des droits de l’homme dans le monde et lassociation pour le développement et la solidarité, ont appelé dans une déclaration commune l’ONU à permettre au peuple sahraoui lexercice de son droit à l’autodétermination et à l’indépendance
« Nous exigeons la libération inconditionnelle et immédiate de tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons du Maroc, le respect des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et la levée de létat de siège imposé au territoire, afin de permettre laccès aux médias et observateurs internationaux qui souhaitent visiter la région », explique la déclaration.
Elle a également dénoncé les graves violations des droits humains commises par le Maroc contre les civils sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, appelant le Gouvernement allemand à « exercer plus de pression sur le Maroc pour lamener à respecter les droits de l’homme au Sahara occidental ».
Les ONG ont enfin estimé que l’arrestation et l’emprisonnement des sept militants sahraouis des droits humains en octobre dernier à laéroport de Casablanca, après leur retour d’une visite dans les camps de réfugiés sahraouis, « sont contraires au droit et à la légalité internationale ». Plus de 50 prisonniers politiques sahraouis dont 38 se trouvent dans un état critique de la santé en raison de la grève illimitée de la faim quils mènent depuis plus de cinq semaines, alors que les autorités marocaines persistent dans une totale indifférence à faire la sourde oreille à leurs revendications légitimes, rappelle-t-on. (SPS)
Le parti social démocrate, le Comité de solidarité avec le peuple sahraoui, l’Association de la solidarité mondiale, lassociation allemande de soutien aux malades de la variole et la tuberculose, lassociation pour les peuples menacés, lassociation européenne des juristes et avocats pour la défense de la démocratie et des droits de l’homme dans le monde et lassociation pour le développement et la solidarité, ont appelé dans une déclaration commune l’ONU à permettre au peuple sahraoui lexercice de son droit à l’autodétermination et à l’indépendance
« Nous exigeons la libération inconditionnelle et immédiate de tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons du Maroc, le respect des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et la levée de létat de siège imposé au territoire, afin de permettre laccès aux médias et observateurs internationaux qui souhaitent visiter la région », explique la déclaration.
Elle a également dénoncé les graves violations des droits humains commises par le Maroc contre les civils sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, appelant le Gouvernement allemand à « exercer plus de pression sur le Maroc pour lamener à respecter les droits de l’homme au Sahara occidental ».
Les ONG ont enfin estimé que l’arrestation et l’emprisonnement des sept militants sahraouis des droits humains en octobre dernier à laéroport de Casablanca, après leur retour d’une visite dans les camps de réfugiés sahraouis, « sont contraires au droit et à la légalité internationale ». Plus de 50 prisonniers politiques sahraouis dont 38 se trouvent dans un état critique de la santé en raison de la grève illimitée de la faim quils mènent depuis plus de cinq semaines, alors que les autorités marocaines persistent dans une totale indifférence à faire la sourde oreille à leurs revendications légitimes, rappelle-t-on. (SPS)
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