Belkhadem qualifie les relations Algéro-marocaines « dordinaires »
« La réouverture des frontières est une question de souveraineté »
Le secrétaire général du FLN, M. Abdelaziz Belkhadem, a qualifié les relations entre le Maroc et lAlgérie de « ni exceptionnelles ni détériorées, mais plutôt ordinaires ». Les hauts responsables marocains « ne savent pas ce quils veulent au juste », ajoute-t-il, faisant allusion à la position marocaine accusant lAlgérie dêtre responsable de larrêt du processus de règlement du conflit du Sahara Occidental.
Lors dune conférence de presse tenue, hier, au siège du FLN, consacrée pour la présentation des résultats de la réunion du comité central, issu du 9e Congrès du parti, M. Belkhadem a affirmé que « les relations entre les deux voisins sont normales, alors quelles devraient être meilleures ». « Nos frères au Maroc sont engagés dans des négociations avec le Front Polisario, le représentant officiel des sahraouis et au même temps, ils accusent lAlgérie dêtre derrière léchec du processus de règlement du conflit ; ils ne savant pas ce quils veulent au juste », soutient-il.
En ce qui concerne la fermeture des frontières entre les deux pays et la revendication du Maroc de leur réouverture, le secrétaire général du FLN a déclaré : « cette question relève de la souveraineté de lAlgérie ». Ceci dit que lopposition de lAlgérie à la réouverture des frontières est une question de souveraineté».
Sur un autre plan, M. Belkhadem a présenté aux journalistes les nouveaux membres du bureau politique. Répondant à une question portant sur des éventuelles réserves de la part du ministère de lIntérieur sur la liste des membres du bureau politique du FLN, le même interlocuteur a indiqué que « si lun des membres a des antécédents judiciaires ou bien impliqué dans des crimes datteinte à la pudeur, il doit être exclu, mais sil a été condamné suite à un accident de la circulation, nous refusons quil soit exclu pour cette raison ».
En ce qui concerne un éventuel remaniement ministériel, M. Belkhadem a appelé les journalistes à « faire la différence entre la rumeur et linformation ». « Le remaniement devrait venir, tôt ou tard, à chacun son tour ! », a-t-il conclu.
EL KHABAR
« La réouverture des frontières est une question de souveraineté »
Le secrétaire général du FLN, M. Abdelaziz Belkhadem, a qualifié les relations entre le Maroc et lAlgérie de « ni exceptionnelles ni détériorées, mais plutôt ordinaires ». Les hauts responsables marocains « ne savent pas ce quils veulent au juste », ajoute-t-il, faisant allusion à la position marocaine accusant lAlgérie dêtre responsable de larrêt du processus de règlement du conflit du Sahara Occidental.
Lors dune conférence de presse tenue, hier, au siège du FLN, consacrée pour la présentation des résultats de la réunion du comité central, issu du 9e Congrès du parti, M. Belkhadem a affirmé que « les relations entre les deux voisins sont normales, alors quelles devraient être meilleures ». « Nos frères au Maroc sont engagés dans des négociations avec le Front Polisario, le représentant officiel des sahraouis et au même temps, ils accusent lAlgérie dêtre derrière léchec du processus de règlement du conflit ; ils ne savant pas ce quils veulent au juste », soutient-il.
En ce qui concerne la fermeture des frontières entre les deux pays et la revendication du Maroc de leur réouverture, le secrétaire général du FLN a déclaré : « cette question relève de la souveraineté de lAlgérie ». Ceci dit que lopposition de lAlgérie à la réouverture des frontières est une question de souveraineté».
Sur un autre plan, M. Belkhadem a présenté aux journalistes les nouveaux membres du bureau politique. Répondant à une question portant sur des éventuelles réserves de la part du ministère de lIntérieur sur la liste des membres du bureau politique du FLN, le même interlocuteur a indiqué que « si lun des membres a des antécédents judiciaires ou bien impliqué dans des crimes datteinte à la pudeur, il doit être exclu, mais sil a été condamné suite à un accident de la circulation, nous refusons quil soit exclu pour cette raison ».
En ce qui concerne un éventuel remaniement ministériel, M. Belkhadem a appelé les journalistes à « faire la différence entre la rumeur et linformation ». « Le remaniement devrait venir, tôt ou tard, à chacun son tour ! », a-t-il conclu.
EL KHABAR
Soyez le premier à commenter