Paralysie de la justice marocaine devant les prisonniers sahraouis
Le SG de l’ONU, Ban Ki-moon, fait recours à la Fondation Jimmy Carter pour l’aider à démêler l’embrouillement du conflit du Sahara Occidental. L’impasse dans les négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario et la montée de la tension demandent une médiation urgente.
La paralysie dans laquelle se trouve l’appareil de la Justice marocaine face du défi des prisonniers saharauis en grève de la faim, a recommencé à mettre en question la gestion marocaine du conflit. Les six détenus et à leur tête Ali Salem Tamek, très affaiblis physiquement après leur grève de la faim depuis 35 jours, demandent d’être jugés ou mis en liberté. D’ailleurs leur protestation est contre le blocage juridique – administratif dans lequel ils se trouvent.
Les six prisonniers sont dans l’attente d’être amenés devant un tribunal militaire. Dans certains milieux politiques et diplomates occidentaux on ne comprend pas la paralysie administrative marocaine. « Les mêmes responsables de l’expulsion d’Aminetou Haidar qui a provoqué un revers sérieux à l’image du Maroc, sont les mêmes qui incitent les grévistes de la faim à aller maintenant jusqu’au bout ».
Devant cette situation, au sein du Secrétariat général de l’ONU, on estime que la Fondation Jimmy Carter, avec une grande expérience dans des conflits internationaux et d’un grand prestige dans le monde arabe, pourrait utiliser son influence et la capacité de relancer les négociations et de chercher une solution provisoire au conflit. Le prorrogación d’un an du mandat de la MINURSO (la Mission de Nations Unies pour la célébration du Référendum au Sahara Occidental), permettrait de mettre en place une « feuille de route » au Maghreb.
Source : EL IMPARCIAL
Le SG de l’ONU, Ban Ki-moon, fait recours à la Fondation Jimmy Carter pour l’aider à démêler l’embrouillement du conflit du Sahara Occidental. L’impasse dans les négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario et la montée de la tension demandent une médiation urgente.
La paralysie dans laquelle se trouve l’appareil de la Justice marocaine face du défi des prisonniers saharauis en grève de la faim, a recommencé à mettre en question la gestion marocaine du conflit. Les six détenus et à leur tête Ali Salem Tamek, très affaiblis physiquement après leur grève de la faim depuis 35 jours, demandent d’être jugés ou mis en liberté. D’ailleurs leur protestation est contre le blocage juridique – administratif dans lequel ils se trouvent.
Les six prisonniers sont dans l’attente d’être amenés devant un tribunal militaire. Dans certains milieux politiques et diplomates occidentaux on ne comprend pas la paralysie administrative marocaine. « Les mêmes responsables de l’expulsion d’Aminetou Haidar qui a provoqué un revers sérieux à l’image du Maroc, sont les mêmes qui incitent les grévistes de la faim à aller maintenant jusqu’au bout ».
Devant cette situation, au sein du Secrétariat général de l’ONU, on estime que la Fondation Jimmy Carter, avec une grande expérience dans des conflits internationaux et d’un grand prestige dans le monde arabe, pourrait utiliser son influence et la capacité de relancer les négociations et de chercher une solution provisoire au conflit. Le prorrogación d’un an du mandat de la MINURSO (la Mission de Nations Unies pour la célébration du Référendum au Sahara Occidental), permettrait de mettre en place une « feuille de route » au Maghreb.
Source : EL IMPARCIAL
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