Paris.- Les participants au rassemblement de soutien à la cause sahraouie, tenu mercredi en fin d’après-midi devant le siège de l’Assemblée nationale française à Paris, ont dénoncé la « partialité » du rapport du secrétaire général de l’ONU sur le Sahara occidental et réaffirmé le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.
Ce rassemblement a été organisé à l’appel d’une vingtaine d’ONG, d’associations, de partis et syndicats français. Il a été marqué par la présence de représentants du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Dans un appel, distribué sur place, les participants au rassemblement ont estimé que le rapport du secrétaire général de l’ONU, présenté le 6 avril dernier et qui devra servir de base de travail au Conseil de sécurité qui se réunira fin avril, « affiche un mépris de la situation de plus en plus critique des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc » et « renvoie dos à dos le pays colonisateur et le pays colonisé », « chose intolérable », ont-ils affirmé.
Ils ont invité les quinze pays membres du Conseil de sécurité à adopter une résolution qui demande « la libération immédiate et inconditionnelle des prisonniers politiques sahraouis », « l’interdiction de l’exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental jusqu’à la solution du problème »,
« La réaffirmation du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’organisation du référendum permettant à ce peuple de choisir librement son destin » et « l’élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés et à la protection des populations sahraouis contre la répression », ont ils ajouté. (SPS)
Ce rassemblement a été organisé à l’appel d’une vingtaine d’ONG, d’associations, de partis et syndicats français. Il a été marqué par la présence de représentants du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Dans un appel, distribué sur place, les participants au rassemblement ont estimé que le rapport du secrétaire général de l’ONU, présenté le 6 avril dernier et qui devra servir de base de travail au Conseil de sécurité qui se réunira fin avril, « affiche un mépris de la situation de plus en plus critique des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc » et « renvoie dos à dos le pays colonisateur et le pays colonisé », « chose intolérable », ont-ils affirmé.
Ils ont invité les quinze pays membres du Conseil de sécurité à adopter une résolution qui demande « la libération immédiate et inconditionnelle des prisonniers politiques sahraouis », « l’interdiction de l’exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental jusqu’à la solution du problème »,
« La réaffirmation du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’organisation du référendum permettant à ce peuple de choisir librement son destin » et « l’élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés et à la protection des populations sahraouis contre la répression », ont ils ajouté. (SPS)
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