Six d’entre eux croupissent dans la prison de Salé (Maroc), arrêtés depuis le 8 octobre dernier après leur retour d’une visite familiale aux camps de réfugiés sahraouis et menacés d’être traduits devant un tribunal militaire marocain.
Ce groupe est en grève de la faim depuis dix jours réclamant son droit à « un procès équitable où la libération immédiate et sans conditions », a rappelé M. Abdelaziz, appelant à la libération immédiate de tous les prisonniers politiques sahraouis qui se trouvent encore dans les prisons marocaines.
D’autre part, les familles des prisonniers politiques sahraouis sont contraintes à se déplacer des centaines de kilomètres pour rendre visite à leurs fils dans les prisons marocaines, a déploré le président de la République, dans sa lettre dont une copie est parvenue à SPS. (SPS)
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